Les JO, qui devaient initialement débuter en juillet 2020, ont été reportés d’un an. Même si le Japon reste modérément impacté par la crise, avec moins de 300 morts et environ 10 000 cas confirmés, il prendrait un risque en accueillant si tôt le plus grand événement sportif au monde, selon Kentaro Iwata, professeur en maladies infectieuses à l’université de Kobe.
A défaut d’annuler, le Comité international olympique pourrait être amené à repenser les Jeux, en limitant le nombre de sportifs et de spectateurs présents sur place. Les Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo devaient accueillir cette année près de 15 000 athlètes, ainsi que des milliers de fans ou journalistes.
Nec piget dicere avide magis hanc insulam populum Romanum invasisse quam iuste. Ptolomaeo enim rege foederato nobis et socio ob aerarii nostri angustias iusso sine ulla culpa proscribi ideoque hausto veneno voluntaria morte deleto et tributaria facta est et velut hostiles eius exuviae classi inpositae in urbem advectae sunt per Catonem, nunc repetetur ordo gestorum.